mercredi, juin 17, 2009

Fer de plume et clair de lune

En tentant de retrouver les souvenir figés qui me faisaient défaut,
je me suis mis à parcourir le passé d'amis.
Histoire de virer ce qui n'avait pas lieu d'être sur mon
disque dur externe.

Les soirée avec ceux dont j'aurai voulu garder le contact,
les voyages que je n'ai pas fait. De photos en souvenirs,
on se remémore les discussions avec ceux
qui ont des souvenirs à raconter.
On a entretenu la conversation avec ses connaissances personnelles;
celles apprises par les livres.

J'ai appris par ceux qui furent mes amis pendant ma scolarité primaire et secondaire. Il le sont toujours en je m'en abreuve sans répit.
De même, j'ai l'impression de vivre à travers mes rencontres.
On déprime et il l'aura si bien cherché, que le cafard pointe son nez.

On en vient à se demander si cette pleutrerie continuera longtemps,
s'il en a toujours été ainsi.
Avec ma personnalité originelle, aurais-je été le même?
Aurais-je "mieux vécu"?

Avec des "si" on mettrait Paris en bouteille.
Tiens un proverbe de plus
parmi tout ceux que débite avec autant de "sagesse populaire".
Je place les mots quand ils doivent être placés.
Par écrit, mon maque de structure se fait sentir,
mais dans le feu d'une discussion je sais rebondir.

Je suis comme une lune car je brille en rayonnant la lumière,
plus puissante, d'un soleil. Je me la suis appropriée,
mais elle ne m'appartient pas.




Je n'ai pas besoin de long discours. Juste remplir les vides.
Je ne m'excuse pas auprès du lectorat car si vous venez ici,
si vous lisez cette phrase, c'est que vous désiriez lire ce texte.

Aucun commentaire: